mercredi 16 août 2017

Escroqueries intellectuelles des islamistes et de leurs idiots utiles : comment lutter ?


Les discours des musulmans radicaux (UOIF, frères musulmans, Tariq Ramadan, etc.) à destination des non-musulmans sont empreints de mensonges, dissimulations, escroqueries intellectuelles, à l'opposé de ce qui est prêché et enseigné dans les mosquées (voir vidéo ci-dessus). Cette dissimulation a pour nom "taqyia" et est théorisée par Mahomet comme arme intellectuelle et politique pour endormir les foules non-musulmanes en attendant d'avoir la force armée nécessaire pour assassiner, expulser ou soumettre les récalcitrants. 

Par exemple, on omettra de mentionner aux non-musulmans la pédophilie de Mahomet (mariage d'Aïcha à 6 ans, consommation à 9 ans), la légalisation de l'esclavage, et notamment de l'esclavage sexuel, la haine viscérale vis-à-vis des chrétiens, des juifs, des hindous, etc., l'interdiction passible de peine de mort de quitter l'islam, l'assassinat des intellectuels critiquant Mahomet, l'histoire des génocides et déportations commises par les chefs musulmans tout au long de l'histoire et dont Daech n'est qu'un énième exemple. 

Par exemple encore, on évitera de dire que le jihad militaire est consubstantielle à l'islam classique et que les réformateurs qui se sont amusés à le bannir du Coran n'ont pas vécu très longtemps avec la tête sur les épaules.
propagande islam
http://ripostelaique.com/decodex-lislam-apprend-aux-enfants-lamour-et-la-paix.html

Par contre, on n'hésitera pas à colporter des mensonges accusant les sociétés en voie de colonisation musulmane pour les diviser, les culpabiliser, les ridiculiser, et aussi pour monter les populations musulmanes contre elles, malgré l'accueil qui leur est fait, etc. Le malheur est qu'aujourd'hui, en France et dans nombre de pays occidentaux, cette propagande est relayée par nombre de professeurs (et ce qui est plus dangereux des professeurs d'histoire), journalistes, universitaires ou hommes politiques

Ainsi, on n'écrira plus : "Les Arabes ont été arrêtés à Poitiers en 732 par Charles Martel." (déjà on faisait l'impasse sur le jihad à l'époque), mais plutôt "les hommes venus d'orient, après s'être installé pacifiquement à côté des chrétiens et juifs en Syrie, en Palestine, en Egypte et au Maghreb en l'espace de quelques décennies et après avoir traversé l'Espagne où ils ont lié connaissance avec les populations locales, sont venus découvrir amicalement le royaume des Francs et faire du commerce avec les autochtones mais sont repartis, vexés de l'accueil raciste et discriminatoire qui leur a été réservé lors de leur séjour." 

Je viens de l'inventer, celle-là, mais c'est bien le style du politiquement correct d'aujourd'hui en vogue dans nombre de journaux, partis politiques et chez beaucoup d'universitaires. Le pire, c'est qu'ils n'ont pas tous été achetés par le Qatar et l'Arabie saoudite, certains se sont convaincus eux-mêmes de ces préjugés et propagandes islamistes. On comprend par exemple que la France ou les USA aient financé les islamistes en Libye ou en Syrie, mais les pétromonarchies n'ont pas acheté tout le monde. D'autres, sans avoir reçu de pots-de-vin, sont complètement intoxiqués par la doxa pro-islam dominante et rejettent tout ce qui pourrait choquer leurs amis musulmans, les exclus du monde, les damnés de la terre et ils adorent en revanche tout ce qui donne une mauvaise image d'Israël, des USA, de la laïcité, de la démocratie, de la culture occidentale.

Petit à petit, année après année, décennie après décennie, partout dans le monde et de tout temps depuis 1400 ans, ce régime de dissimulation, de mensonge et de propagande éhontées a mené et mène à l'expansion de la population musulmane qui finit par coloniser les pays où ils s'intallent et se les approprier, à l'exode ou au massacre des populations indigènes et in fine à l'instauration de la charia et à la mise en place d'un régime totalitaire gouverné par des dictateurs religieux, se présentant comme les représentants de Mahomet sur terre et à qui les sujets musulmans doivent obéir au doigt et à l'oeil sous peine d'emprisonnement, de torture ou d'exécution.

On comprendra que la capacité de résistance intellectuelle et politique est primordiale pour éviter la colonisation musulmane d'une société et ensuite son déclin politique, économique et culturel. La capacité de résistance militaire ne sert à rien si l'ennemi n'est pas reconnu comme tel. La différence entre une Juive et une Suédoise qui seraient violées et égorgées par un musulman, c'est que la première saurait exactement pourquoi elle a été ciblée. (Bon, tous les musulmans ne font pas ça, mais ceux qui le font sont majoritairement des musulmans, il suffit de voir les statistiques ethniques et culturels des crimes sexuels quand les données existent, et ça s'explique non par la génétique, mais par la culture islamique des pays d'où ils sont originaires ou celles qu'ils entendent dans les mosquées, dans les camps de réfugiés, dans les prisons ou dans les cités. 

Avoir un cursus universitaire de haut niveau, on l'a vu, ne permet pas d'échapper à l'embrigadement des islamistes - comme de toute autre secte apocalyptique d'ailleurs -, mais il faut tout de même remarquer que la meilleure parade contre la manipulation mentale, et en particulier contre l'islamisation radicale est bien l'élévation du niveau réel d'instruction scientifique, littéraire, historique et politique, de culture générale et de logique générale. 

Précisons que nous appelons niveau réel est le niveau de connaissances et de savoir-faire réellement atteint. Il ne doit pas être confondu avec le niveau apparent que confèrent tels ou tels diplômes ou examens qui peuvent être de bas ou très bas niveau. Ainsi, en France, jamais autant d'élèves d'une classe d'âge n'ont eu le bac, mais pourtant le niveau réel de connaissances mathématiques et littéraires de ces mêmes élèves n'a jamais été aussi bas depuis les années 1920-1930. On retrouve cette carence intellectuelle, culturelle et logique dans les analyses des journalistes, des universitaires, hommes politiques et a fortiori des citoyens lambdas qui ont a priori en moyenne encore moins de connaissances sur l'état du monde et de la société. 

Quelques discours pour se désislamiser et sauver son esprit : 




Des étudiants américains peuvent suivre des cours anti-«bullshit» (11.08.2017)

Par Louis Heidsieck • Publié le 11/08/2017 à 14:40
    À l’université de Washington, des cours en amphithéâtre - retransmis sur YouTube - mettent en garde les étudiants contre les fausses informations et les erreurs véhiculées par la presse, les communicants et les start-up.

    «Le monde est inondé de fausses infos. Les politiciens ne sont plus contraints de se référer aux faits. [...] L’éducation supérieure récompense le ‘bullshit’ davantage que l’analyse factuelle. La culture des start-up a fait du ‘bullshit’ un art majeur. Les publicitaires profitent de nos faiblesses pour nous bombarder de leur ‘bullshit’. La majorité des activités publiques ou privées n’est rien de plus qu’un exercice sophistiqué de combinaison de ‘bullshit’. Nous sommes malades de tout cela.» Voici la logorrhée qui débute l’étonnant «séminaire de bullshit» dispensé début 2017 dans l’université de Washington et depuis le mois d’avril sur YouTube.

    L’objectif est de déceler les fausses informations dans les médias, publicités et communiqués de presse. Et ce à travers une banque d’exemples concrets, en identifiant les «fake news facilement détectables» (pastille verte), jusqu’à celles qui concernent des études de cas complexes utilisant notamment statistiques et mathématiques (sticker noir). Ces dernières demandant un niveau d’aptitude élevé en maths pour repérer les fausses infos parfois communiquées par de grandes institutions.

    Les séminaires, d’une durée totale de dix heures, sont tous retransmis en ligne sur YouTube. Chaque exemple est ponctué d’un cas pratique et les différents professeurs donnent des conseils précis pour ne pas se faire embrigader dans une manipulation de l’information. Voici deux exemples différents, tirés de deux cours dispensés à Washington:

    La méthode de Fermi

    La méthode de Fermi consiste à estimer un ordre de grandeur pour répondre à n’importe quel problème en estimant soi-même les données. Par exemple, combien y a-t-il de vis dans la tour Eiffel? combien y a-t-il d’accordeurs de pianos à Chicago?, etc. Cette technique est souvent utilisée dans les entretiens d’embauches ou d’écoles, car elle permet d’estimer la capacité de réflexion d’un candidat. Or, d’après ce cours, elle permet aussi de ne pas se perdre dans les chiffres, en ayant estimé un ordre de grandeur de la donnée en amont.

    Ainsi, quand FoxNews dénonce les 70 millions de dollars de fraudes au programme alimentaire fédéral des États-Unis (article effacé, la chaîne a dû se corriger depuis), il suffit de calculer grâce à cette méthode qu’environ 30 milliards sont dépensés chaque année pour le programme, et constater que la fraude ne dépasse pas les 2%, ce qui, vu sous cet angle, est bien différent de la valeur absolue.

    Les mauvaises comparaisons

    Deuxième exemple: les mauvaises comparaisons. Carl Sagan, le professeur, explique qu’en comparant un jus frais et un jus concentré en en utilisant une loi de probabilités et un panel de consommateurs (plutôt complexe, donc), on peut affirmer que le frais est plus doux. Sauf que le jus frais qu’il avait utilisé était un jus de pomme et l’autre, un jus d’orange. Comparer des pommes et des oranges, c’est ce qui, selon le professeur, permet de faire du clic rapidement sur internet, en faisant par exemple des listes de villes (la plus dangereuse, la plus tranquille...). Selon les limitations que l’on choisit pour la ville, on peut faire dire n’importe quoi à ces chiffres, comme sur cet (autre) article de la Fox 2 News.

    Une dizaine d’heures de cours est disponible sur internet, avec à chaque fois des exemples précis et une pédagogie dynamique qui distille une bonne dose d’humour... de scientifiques.


    sauvergarder sitamnesty

    https://web.archive.org/web/20190507024549/https://sitamnesty.wordpress.com/europe-2083/ https://web.archive.org/web/20190828001705/https...